commencer le travail aux longues rênes
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DiegoMulot
U&U
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Re: commencer le travail aux longues rênes
DiegoMulot a écrit:
(...) l'immobilité c'est une des premières chose qu'on demande à un cheval...c'est un très bon exercice !!!
Et, paradoxe ou ambiguïté des mots, c'est aussi un vice rédhibitoire !
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Re: commencer le travail aux longues rênes
Roxi48 a écrit :
"Je pense que le simulateur permet surtout de bien se rendre compte de l'action qu'on a avec la main sur la bouche de l'équidé...
(...)"
A la réflexion, l'intérêt du simulateur me semble tout de même assez limité du fait que la traction exercée sur les guides est constante et égale au poids des sacs (à moins que l'un deux repose sur le sol, auquel cas elle est nulle sur la guide correspondante). Au contraire, la traction exercée par la mule peut varier à tout moment, en particulier lorsqu'elle essaie de dévier ou d'accélerer, et la difficulté est justement, pour le meneur, de s'adapter à ces changements constants en respectant le principe classique "opposer une résistance égale à celle du cheval, mais jamais supérieure". Je pense donc qu'il ne faut pas trop attendre de cet appareil.
"Je pense que le simulateur permet surtout de bien se rendre compte de l'action qu'on a avec la main sur la bouche de l'équidé...
(...)"
A la réflexion, l'intérêt du simulateur me semble tout de même assez limité du fait que la traction exercée sur les guides est constante et égale au poids des sacs (à moins que l'un deux repose sur le sol, auquel cas elle est nulle sur la guide correspondante). Au contraire, la traction exercée par la mule peut varier à tout moment, en particulier lorsqu'elle essaie de dévier ou d'accélerer, et la difficulté est justement, pour le meneur, de s'adapter à ces changements constants en respectant le principe classique "opposer une résistance égale à celle du cheval, mais jamais supérieure". Je pense donc qu'il ne faut pas trop attendre de cet appareil.
Dernière édition par Judex le Jeu 17 Sep - 10:55, édité 1 fois
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Re: commencer le travail aux longues rênes
Pour l'avoir utilisé et m'en être fabriqué un (avec des fers en guise de poids), effectivement Judex je confirme ta remarque.
mais, comme le dit Roxi, cela permet de voir les actions que l'on fait sur la bouche du cheval
et le plus grand intérêt est de permettre une gymnastique des doigts et apprendre les différentes
positions et tenues des guides, et d'enchaîner ces positions.
Il faut ensuite passer à la pratique très vite.
En général, pendant un cours d'attelage, il y a 15 ou 30 min de simulateur avant d'aller mener
quand on débute.
mais, comme le dit Roxi, cela permet de voir les actions que l'on fait sur la bouche du cheval
et le plus grand intérêt est de permettre une gymnastique des doigts et apprendre les différentes
positions et tenues des guides, et d'enchaîner ces positions.
Il faut ensuite passer à la pratique très vite.
En général, pendant un cours d'attelage, il y a 15 ou 30 min de simulateur avant d'aller mener
quand on débute.
Re: commencer le travail aux longues rênes
Mais il est vrai aussi que, quand on débute à l'attelage, on doit le faire avec un cheval correctement dressé et qui ne remue donc pas trop la tête (enfin, on l'espère). Il en va autrement lorsqu'on entreprend de mettre aux longues rênes un animal qui n'y était pas habitué. Il reste que le simulateur doit aider, comme le disent Roxi et U&U, à développer l'habileté des mains et des doigts.
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Re: commencer le travail aux longues rênes
Amélie a écrit:Plus précisement ?
cad....comme ça par exemple.
Pour éviter de toujours parler de mon mulet, je vous met une photo de notre entraineur sur une jeune jument en cours d'apprentissage.
Pendant qu'il donne son cours, la pouliche reste sagement immobile sans marquer d'impatience.
Re: commencer le travail aux longues rênes
Judex a écrit:DiegoMulot a écrit:
(...) l'immobilité c'est une des premières chose qu'on demande à un cheval...c'est un très bon exercice !!!
Et, paradoxe ou ambiguïté des mots, c'est aussi un vice rédhibitoire !
c'est vrai, mais là on rentre dans les pathologies...
Re: commencer le travail aux longues rênes
Oui le simulateur permet surtout de bien apprendre à faire les changements de tenue de guides (passer d'une position à deux mains à celle d'une main, puis après de mener à une main .. j'en suis pas encore capable !!). La pratique ne peut absolument pas se remplcer par le simulateur. Le simulateur est bien utile pour regarder les choses calment (je fais ça, puis si je fais ça on obtient ça ..etc etc .. !!) par contre dans le feu de l'action on doit faire le mieux possible en limitant les erreurs .. Là est tout l'interêt du simulateur !
Re: commencer le travail aux longues rênes
"cad....comme ça par exemple.
Pour éviter de toujours parler de mon mulet, je vous met une photo de notre entraineur sur une jeune jument en cours d'apprentissage.
Pendant qu'il donne son cours, la pouliche reste sagement immobile sans marquer d'impatience."
Dans un environnement clos, il n'y a pas de problème. C'est en extérieur que c'est difficile. Il y a aussi, je pense, le fait que sa mère a beaucoup (trop ?) de sang. Mais je suppose qu'en western ils arrivent aussi à tenir l'arret en extérieur, quelles sont les modes d'apprentissage utilisés ?
Pour éviter de toujours parler de mon mulet, je vous met une photo de notre entraineur sur une jeune jument en cours d'apprentissage.
Pendant qu'il donne son cours, la pouliche reste sagement immobile sans marquer d'impatience."
Dans un environnement clos, il n'y a pas de problème. C'est en extérieur que c'est difficile. Il y a aussi, je pense, le fait que sa mère a beaucoup (trop ?) de sang. Mais je suppose qu'en western ils arrivent aussi à tenir l'arret en extérieur, quelles sont les modes d'apprentissage utilisés ?
Re: commencer le travail aux longues rênes
Amélie a écrit:"cad....comme ça par exemple.
Pour éviter de toujours parler de mon mulet, je vous met une photo de notre entraineur sur une jeune jument en cours d'apprentissage.
Pendant qu'il donne son cours, la pouliche reste sagement immobile sans marquer d'impatience."
Dans un environnement clos, il n'y a pas de problème. C'est en extérieur que c'est difficile. Il y a aussi, je pense, le fait que sa mère a beaucoup (trop ?) de sang. Mais je suppose qu'en western ils arrivent aussi à tenir l'arret en extérieur, quelles sont les modes d'apprentissage utilisés ?
Amélie, ça marche avec toutes les races de chevaux, question d'éducation.
La différence entre le western et les autres équitations c'est qu'elle ne stresse pas les chevaux, qu'elle leur apprend a rester zen et responsables. C'est la seule équitation qui se pratique renes non ajustées, donc tu vois, si les chevaux avaient envie de filer ils pourraient très bien le faire mais justement comme ils ne sont pas tenus, ils ne le font pas.
Bon tout n'est pas idyllique non plus dans le western mais pour ça au moins c'est très bien !
Ici des arabes en western riding qui attendent sagement leur tour.
l'arrêt
Effectivement l'arrêt est une question d'éducation de base.
Je pense à 2 raisons qui puisse expliquer la difficulté d'Amélie à arrêter sa mule (mais il peut y en avoir d'autres)
- l'impatience de jeunesse : la mule ne reste jamais à l'attache, à un poteau ou à un mur. Pour ma part je n'hésite pas à attacher mes mules à un anneau pendant une heure ou 4 heures pour une jeune pour lui apprendre la patience. Au départ, tu peux le faire en présence de son compagnon, ensuite tu doit la laisser seule. Il faut renouveler l'expérience régulièrement. A la fin de l'exercice, tu récompense. Un point très important, la mule doit être solidement attachée, licol très solide, anneau indestructible (et surtout pas de ficelle comme dans les centre équestre). Pour ma part j'emploie des colliers de cou dit colerons.
- En longue rênes ou en guides, Une fois obtenu l'arrêt tu doit "céder". C'est à dire relacher tes rênes.
En longue guides, il est très difficile de conserver la ligne droite avec une jeune mule en cours de débourrage.
Lors de la 1ère scéance, il faut rechercher : le calme, la découverte de l'action du mors, l'acceptation par la mule d'un ane à deux pattes qui la suit. Ensuite, il est intéressant d'obtenir l'arrêt ; c'est mieux pour pouvoir finir la scéance.
Lors de la 2ème scéance, il faut rechercher : la même chose qu'a la première, et commencer à travailler sur un cercle, en étant en arrière de la mule mais sur un cercle intérieur. Travailler aux deux mains.
Lors de la Xème scéance, une fois que ce qui précède est parfaitement acquis, rechercher le travail en ligne droite.
Je pense à 2 raisons qui puisse expliquer la difficulté d'Amélie à arrêter sa mule (mais il peut y en avoir d'autres)
- l'impatience de jeunesse : la mule ne reste jamais à l'attache, à un poteau ou à un mur. Pour ma part je n'hésite pas à attacher mes mules à un anneau pendant une heure ou 4 heures pour une jeune pour lui apprendre la patience. Au départ, tu peux le faire en présence de son compagnon, ensuite tu doit la laisser seule. Il faut renouveler l'expérience régulièrement. A la fin de l'exercice, tu récompense. Un point très important, la mule doit être solidement attachée, licol très solide, anneau indestructible (et surtout pas de ficelle comme dans les centre équestre). Pour ma part j'emploie des colliers de cou dit colerons.
- En longue rênes ou en guides, Une fois obtenu l'arrêt tu doit "céder". C'est à dire relacher tes rênes.
En longue guides, il est très difficile de conserver la ligne droite avec une jeune mule en cours de débourrage.
Lors de la 1ère scéance, il faut rechercher : le calme, la découverte de l'action du mors, l'acceptation par la mule d'un ane à deux pattes qui la suit. Ensuite, il est intéressant d'obtenir l'arrêt ; c'est mieux pour pouvoir finir la scéance.
Lors de la 2ème scéance, il faut rechercher : la même chose qu'a la première, et commencer à travailler sur un cercle, en étant en arrière de la mule mais sur un cercle intérieur. Travailler aux deux mains.
Lors de la Xème scéance, une fois que ce qui précède est parfaitement acquis, rechercher le travail en ligne droite.
Invité- Invité
Re: commencer le travail aux longues rênes
Pour Diego, ma jument a été très "impatiente" jusqu'à environ 5 ans. Je la monte uniquement en extérieur et toujours renes longues. Elle est très fine et réactive, c'est un plaisir. Mais, quand je part seule, après quelques trots elle chauffe, et là ça devient difficile de rétablir le calme. As-tu des astuces ? Quel est ton avis ?
Pour Ignace, merci pour ces conseils. Clementine supporte l'attache tranquillement dans son environnement (devant les boxes). Je n'ai jamais essayé ailleurs, car le calme n'y était pas. Pour ce qui est des longues renes, je n'avais pas l'intention de l'y mettre, mais pourquoi pas ?
Pour Ignace, merci pour ces conseils. Clementine supporte l'attache tranquillement dans son environnement (devant les boxes). Je n'ai jamais essayé ailleurs, car le calme n'y était pas. Pour ce qui est des longues renes, je n'avais pas l'intention de l'y mettre, mais pourquoi pas ?
Re: commencer le travail aux longues rênes
Merci beaucoup pour les conseils sur les longues rênes, je dois justement m'y mettre assez rapidement.
Sinon, pour le cheval qui "chauffe", quand mon cheval était au box (ça n'a pas duré longtemps) il était complètement fou en extérieur, on était donc obliger de faire 15 à 20 mn de rodéo en carrière avant la sortie.
Je pense qu'avec certains chevaux, ça vaut le coût de leur faire sortir leur "jus" avant de les monter ou de leur demander un travail sérieux.
Soit en longe, soit en liberté dans une carrière, ou même dessus dans un endroit clôt (si on sait qu'on va tenir), il ne faut pas avoir peur des coups de cul et des réaction violentes et continuer jusqu'au moment où on sent que le calme et l'attention sont de retour.
C'est mieux d'avoir droit à ça avant de partir, qu'au premier trot allongé ou au premier galop de la balade, comme c'est souvent le cas...
Sinon, pour le cheval qui "chauffe", quand mon cheval était au box (ça n'a pas duré longtemps) il était complètement fou en extérieur, on était donc obliger de faire 15 à 20 mn de rodéo en carrière avant la sortie.
Je pense qu'avec certains chevaux, ça vaut le coût de leur faire sortir leur "jus" avant de les monter ou de leur demander un travail sérieux.
Soit en longe, soit en liberté dans une carrière, ou même dessus dans un endroit clôt (si on sait qu'on va tenir), il ne faut pas avoir peur des coups de cul et des réaction violentes et continuer jusqu'au moment où on sent que le calme et l'attention sont de retour.
C'est mieux d'avoir droit à ça avant de partir, qu'au premier trot allongé ou au premier galop de la balade, comme c'est souvent le cas...
Re: commencer le travail aux longues rênes
Amélie a écrit:Pour Diego, ma jument a été très "impatiente" jusqu'à environ 5 ans. Je la monte uniquement en extérieur et toujours renes longues. Elle est très fine et réactive, c'est un plaisir. Mais, quand je part seule, après quelques trots elle chauffe, et là ça devient difficile de rétablir le calme. As-tu des astuces ? Quel est ton avis ?
---
Mon avis c'est que les juments sont des emmerdeuses et des astuces je n'en ai aucunes (à part peut être un traitement homéopathique).
Je remarque simplement que toutes seules ou en famille elles sont adorables mais dès qu'on sort avec un groupe dont un des membres les excite et bien c'est parti pour toute une journée de trottinement, tortillage de cul, etc....
Bon on est HS là non ?
Et si on créait un forum d'entraide pour cavalières de juments pénibles ???
hihi
Re: commencer le travail aux longues rênes
Une explication -partielle sans doute- serait-elle que, contrairement à leurs congénères mâles, les juments et les mules sont toutes des "entières" (du moins chez nous car j'ai lu ou entendu qu'aux USA, l'ovariectomie était de pratique courante) ?DiegoMulot a écrit:
(...)
Mon avis c'est que les juments sont des emmerdeuses et des astuces je n'en ai aucunes (à part peut être un traitement homéopathique).
Je remarque simplement que toutes seules ou en famille elles sont adorables mais dès qu'on sort avec un groupe dont un des membres les excite et bien c'est parti pour toute une journée de trottinement, tortillage de cul, etc....
Bon on est HS là non ?
Et si on créait un forum d'entraide pour cavalières de juments pénibles ???
hihi
D'autre part, je trouve quand même inquiétant que certains chevaux aient besoin d'un épisode "rodéo" quotidien avant de retrouver un comportement normal. Ne faudrait-il pas chercher une explication dans un régime alimentaire mal apté au travail fourni (beaucoup de chevaux de particuliers sont certainement sous-occupés, si on compare, notamment, aux chevaux de l'Armée jadis ou aux chevaux de travail), ou dans l'inadéquation de la vie en écurie ?
Quant au forum suggéré par DiegoMulot, pourquoi ne serait-il pas ouvert aux cavaliers de juments pénibles ?
Invité- Invité
Re: commencer le travail aux longues rênes
Judex a écrit:----
Quant au forum suggéré par DiegoMulot, pourquoi ne serait-il pas ouvert aux cavaliers de juments pénibles ?
Tout simplement cher Juju, heu....pardon.....Judex !
paske les cavalieRs ne veulent jamais reconnaitre leurs lacunes ou moindre petite faille....y a que les nanas pour avoir des angoisses métaphysiques et les avouer !
Ceci dit pour l'équidé qui doit "jeter son jus" avant d'être monté, il est bien probable que dans la pluspart des cas effectivement ça ne soit comme tu le dis : trop nourri et pas assez sorti.
Je n'ai jamais connu ce problème avec mes chevaux vu qu'ils vivent en groupe et en stabulation libre toute l'année, je crois que ça joue beaucoup sur leur comportement.
Mais à conditions de vie égales, faut bien reconnaitre que les juments, anesses, mules, sont plus @@###@&@$$@@, tu m'as comprise !
Re: commencer le travail aux longues rênes
[quote="DiegoMulot"Tout simplement cher Juju, heu....pardon.....Judex !
paske les cavalieRs ne veulent jamais reconnaitre leurs lacunes ou moindre petite faille....y a que les nanas pour avoir des angoisses métaphysiques et les avouer !
[/quote]
Là, il me semble que tu y vas un peu fort, tout de même !
Quant aux demoiselles équidées (!), je suis en partie d'accord avec toi, mais il faudrait, pour que le jugement soit équitable, les comparer aux entiers. Ce n'est pas que ceux-ci m'effraient systématiquement, j'en ai monté pas mal dans le Midi sans plus d'ennuis, globalement, qu'avec les hongres, mais il faut quand même s'attendre à quelques fantaisies, surtout s'il y a du jupon aux alentours. En tout cas, maintenant que nous nous connaissons bien, ma Muguette est aussi gentille et coopérante que possible, mais il est vrai que nous sommes pratiquement toujours seuls. Nous avons décidé, U&U et moi, d'aller faire un jour une balade ensemble, mais nous n'avons pas encore trouvé le jour. Je saurai à ce moment si Mumu est sortable en compagnie, mais je suis assez confiant là-dessus.
D'ailleurs, en ma qualité de senior qui pourrait le rester encore quelque temps, je ne me risquerais pas sur une monture difficile.
paske les cavalieRs ne veulent jamais reconnaitre leurs lacunes ou moindre petite faille....y a que les nanas pour avoir des angoisses métaphysiques et les avouer !
[/quote]
Là, il me semble que tu y vas un peu fort, tout de même !
Quant aux demoiselles équidées (!), je suis en partie d'accord avec toi, mais il faudrait, pour que le jugement soit équitable, les comparer aux entiers. Ce n'est pas que ceux-ci m'effraient systématiquement, j'en ai monté pas mal dans le Midi sans plus d'ennuis, globalement, qu'avec les hongres, mais il faut quand même s'attendre à quelques fantaisies, surtout s'il y a du jupon aux alentours. En tout cas, maintenant que nous nous connaissons bien, ma Muguette est aussi gentille et coopérante que possible, mais il est vrai que nous sommes pratiquement toujours seuls. Nous avons décidé, U&U et moi, d'aller faire un jour une balade ensemble, mais nous n'avons pas encore trouvé le jour. Je saurai à ce moment si Mumu est sortable en compagnie, mais je suis assez confiant là-dessus.
D'ailleurs, en ma qualité de senior qui pourrait le rester encore quelque temps, je ne me risquerais pas sur une monture difficile.
Invité- Invité
Re: commencer le travail aux longues rênes
Pas trop d'ac. sur le parallèle Entiers/Juments.
Un entier bien élevé et sociabilisé (surtout si il est étalon en liberté) et bien c'est quand même plus facile à vivre qu'une jument !
Disons qu'ils ont moins de sautes d'humeur, ils sont plus prévisibles.
On va dire comme ça que les juments ont tous les défauts des entiers, sans les qualités des étalons.
Un entier bien élevé et sociabilisé (surtout si il est étalon en liberté) et bien c'est quand même plus facile à vivre qu'une jument !
Disons qu'ils ont moins de sautes d'humeur, ils sont plus prévisibles.
On va dire comme ça que les juments ont tous les défauts des entiers, sans les qualités des étalons.
Re: commencer le travail aux longues rênes
concernant, l'ovariectomie :
non, elle n'est pas de pratique courante! même outre atlantique!
une personne de l'ADAMS m'a répondu sur la castration des mulets aux états-unis et je vais vous faire bientôt une petite synthèse sur le sujet.
enlever des ovaires sur un équidé n'est pas chose simple, et donc c'est couteux mais il y a aussi des risques post- opératoires et opératoires.
il y a des cas où cependant la stérilisation est nécessaire (tumeur ovarienne...etc).
Aux états-unis, l'ADAMS m'a juste dit qu'ils seraient certes intéressés à ce que des techniques de stérilisation des femelles se développent à moindre coût mais pas
tant pour stériliser les mules
mais surtout pour stériliser les ânesses et exclure ainsi celles qui ont des défauts morphologiques.
je préfère pas savoir où tu as lu cela! mdr
non, elle n'est pas de pratique courante! même outre atlantique!
une personne de l'ADAMS m'a répondu sur la castration des mulets aux états-unis et je vais vous faire bientôt une petite synthèse sur le sujet.
enlever des ovaires sur un équidé n'est pas chose simple, et donc c'est couteux mais il y a aussi des risques post- opératoires et opératoires.
il y a des cas où cependant la stérilisation est nécessaire (tumeur ovarienne...etc).
Aux états-unis, l'ADAMS m'a juste dit qu'ils seraient certes intéressés à ce que des techniques de stérilisation des femelles se développent à moindre coût mais pas
tant pour stériliser les mules
mais surtout pour stériliser les ânesses et exclure ainsi celles qui ont des défauts morphologiques.
je préfère pas savoir où tu as lu cela! mdr
Re: commencer le travail aux longues rênes
U&U :
Si tu ne veux pas savoir où j'ai lu cela, je ne l'écrirai pas...
De toute façon, je n'ai aucune connaissance de la question, je ne faisais que répéter et je m'en remets à ton savoir et à ta documentation.
Si tu ne veux pas savoir où j'ai lu cela, je ne l'écrirai pas...
De toute façon, je n'ai aucune connaissance de la question, je ne faisais que répéter et je m'en remets à ton savoir et à ta documentation.
Invité- Invité
Re: commencer le travail aux longues rênes
Pour mon cheval, le problème s'est arrêté quand on la mis en pension au pré, il faut dire qu'il avait été castré car il ne supportait justement pas le box (d'après son éleveur).
Re: commencer le travail aux longues rênes
Oui. Mes équidés sont toute l'année dehors et nourris au foin avec un petit complément l'hiver. Mais c'est vrai, je dois le reconnaitre, ma petite jument a très mauvais caractère. Meme dans ses bons jours, elle est susceptible et raleuse. C'est aussi pour ça que je l'aime, malgré que ce soit un peu énervant par moment ! Par contre, ma grosse, en bon cheval de travail, est très égale. Elle est toujours disposée à apprendre et à devancer mes demandes, bien que lente au démarrage (diesel). Clémentine a un tempérament très nerveux, mais sa curiosité qui la rapproche fort de l'Homme devrait faciliter fort les choses. Quant à notre étalon Cadichon, il est d'un calme olympien, et garde son sang froid malgré la proximité des juments. Son coté ane ressort sous forme de malice !
Peut-on généraliser ?
Peut-on généraliser ?
Re: commencer le travail aux longues rênes
Amélie a écrit:-----
Peut-on généraliser ?
Sans doute pas....mais les humains aiment bien ranger les choses par catégories et en tirer des généralités justement.
Du style "têtu comme une mule" "bête comme un ane" "on ne fait pas boire un nane qui n'a pas soif" "changement de pâture réjouit je baudet", etc...etc...
Re: commencer le travail aux longues rênes
DiegoMulot a écrit:Amélie a écrit:-----
Peut-on généraliser ?
Sans doute pas....mais les humains aiment bien ranger les choses par catégories et en tirer des généralités justement.
Du style "têtu comme une mule" "bête comme un ane" "on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif" "changement de pâture réjouit le baudet", etc...etc...
Mais tu généralises bien un peu à propos des juments !
Quant à ne pas boire quand on n'a pas soif, c'est une règle dont devraient s'inspirer les humains, du moins certains !
Invité- Invité
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